Chapitre 17 : Seraing, ville du bien-être animal

Là où prévaut la logique du profit, le bien-être des animaux passe à la trappe. Les animaux sont avant tout des êtres vivants, dotés de sensibilité, que nous voulons traiter avec respect. Avec des formations spécifiques, nous conscientisons les citoyens dès leur plus jeune âge à l’implication personnelle que l’adoption d’un animal de compagnie nécessite.

L’échevinat du bien-être animal a fait avancer toute une série de dossiers, notamment le parc canin et la protection animale sur le territoire sérésien. C’est positif et nous voulons aller plus loin.

Nous pensons aussi aux amoureux des animaux et à ceux qui, parmi eux, ont peu de moyens financiers. Nous mettons sur pied dans chaque quartier un système d’aide pour les personnes qui, à cause de la crise économique, ont du mal à subvenir aux besoins de leurs animaux. 

Ce que nous voulons

Un. Une commune qui soutient activement le bien-être animal

  1. Nous soutenons le développement des Creaves, qui sont des refuges pour soigner les animaux blessés. 
  2. Nous faisons la promotion auprès des enfants de la cause du bien-être animal via des campagnes éducatives dans les écoles, mais aussi en dehors, sur le terrain. 
  3. Nous lançons des campagnes d’information et d’action sur la préservation des habitats naturels des espèces locales.             

Deux. Pour un bon traitement des animaux de compagnie.

  1. Nous mettons à disposition de la nourriture pour animaux dans plusieurs centres d’aide alimentaire de la ville afin d’éviter les abandons liés à des difficultés économiques. 
  2. Nous continuons à développer plusieurs parcs canins à Seraing et en assurons la désinfection et l’entretien régulièrement. 

Trois. Le bien-être animal au-dessus du profit.

  1. Dans l’intercommunale des Abattoirs publics des arrondissements de Liège et de Waremme, nous désignons un responsable du bien-être animal, chargé de veiller de près au bien-être des animaux.
  2. Nous organisons régulièrement des formations sur le bien-être animal s’adressant aussi bien au personnel des abattoirs qu’aux transporteurs.               
  3. Nous valorisons cette intercommunale car les abattoirs locaux permettent de réduire le temps de transport des animaux et raccourcissent les chaînes d’approvisionnement alimentaires. 
  4. Nous favorisons les pratiques d’agroécologie péri-urbaine en matière d’élevage.